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BieberBeautifulStranger

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Chris Brown Chris Brown - Time And A Place (CDQ)

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Création : 28/09/2015 à 12:36 Mise à jour : 30/10/2018 à 10:26

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CHAPITRE 4

CHAPITRE 4 
 
 

 
JUSTIN BIEBER 
 
 

Trois jours après l'avoir fait jouir pour déjeuner, elle m'obsède toujours autant.

- Will : Alors, tu amènes qui ce soir ? Me demande-t-il d'une voix distraite, les yeux sur un Times qu'il tient plié entre ses mains.

Le retour de chez le tailleur jusqu'au bureau a été silencieux, en dehors du bruit de
la voiture et d'un cri ou d'un klaxon éventuel dans la rue. Je continue à parcourir des
dossiers, des photographies d'une nouvelle exposition dans le Queens tout en
répondant.

- Moi : En fait, j'y vais seul.

Il lève les yeux vers moi.
 
- Will : Tu n'as pas de rencart ?
- Moi : Non. Dis-je alors qu'il fronce les sourcils, surpris. Quoi ?
- Will : Ça fait combien de temps qu'on se connaît, Justin ?
- Moi : Six ans, je crois bien.
- Will : Et depuis tout ce temps, est-ce que tu es déjà allé à une réception sans une fille ?
- Moi : Aucune idée.
- Will :  Peut-être qu'on pourrait jeter un coup d'½il à la Page Six. Je suis sûr qu'ils savent, eux, fait-il, pince-sans-rire.
- Moi : Très drôle !
- Will : C'est bizarre, c'est tout. C'est le plus gros événement de l'année pour nous et tu n'y seras pas accompagné ?
- Moi : Est-ce que ça a tant d'importance que ça ?

Il se met à rire.

- Will : Tu me fais marcher ? Qui accompagne Justin Bieber, ce soir ? C'est l'une des premières choses que les gens demandent quand il y a une soirée de ce genre.
- Moi : J'adore quand tu me décris comme un coureur de jupons sans foi ni loi alors que toi, tu es blanc comme neige...
- Will : Oh ! Je n'ai jamais dit ça de moi. Répond-il par-dessus son journal. Je dis juste que certaines personnes risquent de se demander si tu vas retrouver quelqu'un là-bas, c'est tout.

Je reviens à mes dossiers en réfléchissant à la question. À vrai dire, je n'ai pensé à
personne pour m'accompagner. C'est pour ça que je n'ai pas de rencart : personne ne m'intéresse.
Ça c'est bizarre. Peut-être que Will a raison.
 
Depuis que j'ai rencontré Ambre, les autres femmes me paraissent prévisibles et insipides.
Will a raison quand il dit que le gala de bienfaisance Bieber & Sumner est
l'événement le plus important de l'été. Il a lieu au MoMA et le gratin de New York y
sera. Un dîner, de la musique pour danser, une vente aux enchères sous pli cacheté
nous gagnons chaque année des centaines de milliers de dollars avec ça, pour une
fondation qui lutte contre le cancer des enfants.

Le ciel gris de l'après-midi s'est éclairci, mais on sent que l'orage n'est pas loin. La
voiture s'arrête devant les barrières, en face du musée. Un voiturier ouvre ma porte et je sors en fermant le bouton de ma veste de smoking. J'entends mon nom prononcé ça et là, les flashs des appareils photo éclatent de tous côtés, comme une petite tempête, dans la zone presse.

" Justin ! Où est la fille ? "
" Justin, une petite photo ! Vite, viens par ici ! "
" Est-ce que la rumeur sur le don à la Smithsonian Institution dit vrai ? "

Je souris et pose pour quelques photos, puis j'entre en faisant des signes de la main.
J'ai l'impression d'avoir enclenché le pilotage automatique, heureux d'être parvenu à
tenir la presse à distance ce soir. Je n'ai pas l'énergie nécessaire.

Les invités sont guidés dans le musée vers le jardin où se déroulera la plus grande
partie de la soirée. Là, toutes sortes de gens bien habillés, au coude-à-coude, boivent des cocktails et du champagne, discutent dollars et potins du jour. Des tentes blanches ont été dressées, éclairées de l'intérieur par des spots de lumière colorés. Un orchestre se trouve d'un côté du jardin, une table de DJ de l'autre pour la fin de soirée.

L'atmosphère lourde et humide me colle à la peau, assez inconfortablement. Je
traverse le jardin pour rejoindre les larges tables aux nappes blanches, ruisselantes de cristal. J'attrape une coupe de champagne. Je sens une présence à côté de moi.

- ... : C'est parfait, comme d'habitude, Justin. Tu t'es surpassé.

Je cligne des yeux. Noah se tient debout à côté de moi.

- Moi : Il fait carrément chaud ici, dis-je en hochant la tête vers les deux coupes qu'il tient.Tu es là avec ta Chloé, j'imagine. 
- Noah : Et toi ?...
- Moi : Je suis seul ce soir. Je fais les honneurs de la maison, et puis tu es là...

Il se met à rire en portant son verre à ses lèvres. Il ne dit rien, mais je vois bien qu'il regarde derrière moi.
Je me retourne juste à temps pour voir Chloé et Ambre revenir des toilettes. Ambre est resplendissante dans sa robe de soirée vert pâle, au bustier brodé de perles. Des talons aiguilles argentés dépassent du bas de sa robe.
Il me faut un moment pour me reprendre.

- Noah : Elle est là avec quelqu'un, Justin.

Je le regarde, bouche bée, avant de parcourir la salle des yeux pour deviner
quel est le connard élu.

- Moi : Elle est venue avec qui ?
- Noah : Moi.
- Moi : Hein ? N'importe quoi !
- Noah : Je blague, bordel ! Si tu voyais la tête que tu fais.

Il se gratte le menton et fait un signe de la main à un invité. J'ai envie de lui mettre
mon poing dans la gueule, vraiment.

- Noah : Justin. Fait-il de sa voix grave,sérieux, cette fois. Ambre est la meilleure amie de Chloé, elle est aussi un membre très important de mon équipe. J'ai confiance en ton sens des affaires plus que dans celui de n'importe qui, mais je sais que tu n'es pas exactement un ange avec les femmes. Je suis la dernière personne qui puisse te faire des reproches mais, crois-moi, ne déconne pas sur ce coup.
- Moi : Du calme ! Tu crois franchement que ce qui m'intéresse, c'est de la traîner de force dans le vestiaire pour...
- Noah : Ce ne serait pas la première fois, répond-il en vidant son verre.
- Moi : Pour toi non plus, mec.

Il a l'air presque soulagé quand je m'éloigne de sa table. Pour un très court
instant, je me sens vaguement coupable de lui avoir menti. À vrai dire, je rêve de
traîner Ambre dans le vestiaire le plus proche. Mais je veux aussi avoir un moment pour la regarder de loin.

Je traverse le jardin en serrant quelques mains au passage et en lançant des merci
pour les donations, à droite à gauche, tout en conservant Ambre dans mon champ de vision. Je m'arrête à côté d'une sculpture de nu de Lachaise et je l'observe à distance, émerveillé par sa beauté, ce soir.

Sa robe est longue et ajustée. Elle met parfaitement en valeur chaque courbe de son
corps et accentue celles que je préfère.

Je me souviens de son visage sur le dance-floor cette nuit-là, totalement déchaînée
dans sa robe trop courte et ses chaussures trop hautes. Je compare cette image à celle de la femme sophistiquée de ce soir. Je ne savais même pas que ce que nous étions en train de faire en boîte lui était totalement étranger. Je ne savais pas à quel point avant ce soir. Elle est calme et délicate... même s'il y a aussi autre chose, un zeste d'audace qu'elle essaie de dissimuler.

Mes yeux s'égarent sur sa gorge, ses épaules. Je me demande ce qu'elle porte sous
sa robe. Je me demande ce qui a donné naissance à la femme que j'ai baisée contre un mur, dans une boîte pleine à craquer.

J'ai bien compris que Noah ne rigole pas quand il me demande de ne pas
approcher Ambre. Ou quand il dit que sa fiancée la lui couperait à moi aussi, d'ailleurs  si elle découvrait le pot aux roses. Il a sûrement compris que mon intérêt pour Ambre n'est pas simulé, mais il est pieds et poings liés.
 
Et malgré ses protestations, il n'interférera jamais si c'est ce que veut Ambre, j'en suis persuadé.
Mais Chloé c'est un autre problème. Elle semble trop maligne, son regard est trop
pénétrant. Je ne connais pas grand-chose de la future madame Ryan, mais je sais que si il l'a définitivement choisie, je n'ai pas envie de m'en faire une ennemie.
Malgré tout, j'aime assez ce petit jeu auquel nous jouons, Ambre et moi.

L'orchestre joue une chanson plus douce, les couples commencent à quitter leurs
cercles pour s'aventurer sur la piste de danse. Je marche jusqu'au bord du jardin.
J'arrive derrière Ambre et je tapote son épaule nue.

Elle se retourne, son sourire s'efface immédiatement quand elle réalise que c'est
moi.

- Moi : Je suis heureux de te voir moi aussi. Fais-je.

Elle avale une longue gorgée de champagne avant de répondre

- Ambre : Comment allez-vous, Monsieur Bieber ?

Monsieur Bieber ? Je souris.

- Moi : Je vois que tu as fait tes recherches. Je ne te suis donc pas aussi indifférent que ça ? Une recherche Google rapide a répondu à toutes mes questions, et au-delà. Dis-je alors qu'elle me sourit poliment en retour. Est-ce qu'on t'a déjà dit qu'Internet grouillait de rumeurs et de mensonges ?J'ajoute en faisant un pas vers elle en glissant mes doigts le long de son bras. Sa peau est douce et lisse. Je note qu'elle a la chair de poule. Au fait, tu es éblouissante ce soir.

Elle me dévisage de haut en bas. Elle s'éloigne un peu de moi et murmure.

- Ambre : Tu n'es pas mal non plus.
- Moi : Est-ce que tu viens de me faire un compliment ? Dis-je avec un air choqué.
- Ambre : Peut-être.
- Moi : Ce serait vraiment dommage qu'on se soit habillés tous les deux avec tant de soin pour ne pas danser ensemble. Qu'en penses-tu ? Lui dis-je pendant qu'elle jette un coup d'½il dans le jardin. Juste une danse, princesse.

Elle vide son verre et le pose sur le plateau d'un garçon.

- Ambre : Juste une danse.

Je pose la main dans son dos et je la guide vers un coin faiblement éclairé de la piste de danse.

- Moi : J'ai beaucoup apprécié notre déjeuner l'autre jour. Dis-je en la prenant dans mes bras. Peut-être qu'on pourrait remettre ça. Peut-être avec un menu légèrement différent ? Dis-je alors qu'elle grimace et regarde par-dessus mon épaule.Je plaque son corps contre le mien, m'attirant ce petit mouvement de sourcil réprobateur que je commence à adorer. Alors, que penses-tu de New York ?
- Ambre : C'est différent. Plus grand, plus de bruit. Ajoute-t-elle en inclinant la tête pour me regarder. Les hommes sont un peu insistants.
- Moi : Tu dis ça comme si c'était une chose désagréable. Dis-je en riant.
- Ambre : Ça dépend de l'homme en question.
- Moi : Et qu'est-ce que tu penses de cet homme ?

Elle cligne des yeux, son sourire poli à nouveau sur ses lèvres. Sara se comporte comme une femme très habituée à être observée dans les événements mondains, ça me frappe.

- Ambre : Écoute, Justin, je suis très flattée par tes attentions. Mais pourquoi est-ce que je t'intéresse autant ? Pourquoi ne pas admettre tous les deux qu'on a passé un bon moment et en rester là ?
- Moi : Tu me plais. Fais-je en haussant les épaules. J'aime ta perversité.
- Ambre : Ma perversité ? Celle-là, on ne me l'avait jamais faite ! Dit-elle en riant.
- Moi : Eh bien, c'est dommage. Dis-moi, quels sont tes fantasmes ? Une gentille petite baise bien douce dans un lit ?
- Ambre : Parfois, oui. Dit-elle en me lançant un regard plein de défi .
- Moi : Mais tu fantasmes aussi sur l'idée de te faire toucher dans un restaurant, là où tu peux être vue, n'est-ce pas ? Dis-je en me penchant et en murmurant dans son oreille. Ou baisée en boîte de nuit ?

Je l'entends déglutir, elle respire fébrilement avant de se reprendre
et de réintroduire une distance socialement acceptable entre nous.

- Ambre : Parfois, bien sûr. Comme tout le monde.
- Moi : Ce n'est pas le fantasme de tout le monde. Et encore moins une réalité pour tout le monde.
- Ambre : Pourquoi est-ce que tu fais une fixation là-dessus ? Je suis sûre qu'il te suffirait de sourire à une femme ici pour l'emmener dans n'importe quelle pièce du musée.
- Moi : Parce que, malheureusement, je ne désire aucune autre femme ici. Tu es un mystère pour moi. Comment parviens-tu à dissimuler autant de paradoxes derrière ces grands yeux bruns ? Qui est donc cette femme qui m'a baisé devant tous ces gens ?
- Ambre : Je voulais peut-être seulement voir ce que ça faisait de faire quelque chose de fou comme ça.
- Moi : Et c'était bon, n'est-ce pas ?

Aucune hésitation dans son regard.

- Ambre : Oui. Mais franchement... Dit-elle en s'éloignant d'un pas. Je reste les bras ballants. Maintenant, je n'ai vraiment plus envie d'être le joujou de qui que ce soit. 
- Moi : Je pensais que je te proposais d'être le tien.

Elle secoue la tête et s'efforce de ne pas sourire. Elle me regarde.

- Ambre : Arrête d'être mignon comme ça.
- Moi : Rendez-vous à l'étage.
- Ambre : Quoi ? Non !
- Moi : La salle de danse vide à l'étage, juste à côté des toilettes. C'est en haut des escaliers à droite. Dis-je avant de m'approcher et de l'embrasser sur la joue, comme pour la remercier pour la danse.

Je la laisse plantée là, la musique s'arrête et on annonce que le dîner va être servi à l'intérieur, juste avant la vente aux enchères. Je me demande si elle y viendra. Si elle prendra le risque de s'absenter devant tout le monde, si elle ressent le même bouillonnement d'adrénaline que moi.

Le bourdonnement des conversations s'amplifie, je quitte la nuit humide pour l'air climatisé du musée. Je monte le large escalier et erre dans le couloir jusqu'à la salle vide plongée dans l'obscurité. Le bruit des voix s'estompe quand je ferme la porte derrière moi mais pas complètement, je laisse un petit passage pour Ambre.

J'attends un moment, j'écoute les sons étouffés de la fête qui continue au rez-de chaussée et dehors, pour être certain d'être seul dans la pièce sombre.
 
Un invité, peut-être un mécène d'un soir, traverse le couloir à pas feutrés et passe la tête par la porte de la salle vide, sans doute au téléphone ou à la recherche des toilettes.

J'ai l'impression que chaque bruit que je fais s'entend jusqu'au couloir, que mes chaussures résonnent sur le parquet, pendant que j'étudie la pièce. Elle est plus longue que large, les lumières de la ville scintillent à travers les fenêtres, le vrombissement des voitures en bas parvient jusqu'ici.
 
Le long du mur, de l'autre côté de la pièce, se trouve une table rectangulaire masquée par un paravent ouvragé. À part ça, la pièce est complètement vide. Je marche jusqu'à la table et je m'appuie dessus, derrière le paravent. Hors de vue, j'attends.

Quinze minutes après l'avoir quittée au moment où je vais abandonner, le rai de lumière, sous la porte, s'élargit et éclaire la pièce. Je regarde la forme de son corps à travers le paravent, éclairé par la lumière du hall. Je suis dans la pénombre, elle ne peut pas me voir. J'en profite pour la regarder parcourir la pièce des yeux.

J'imagine la sensation de sa gorge qui se serre à cause de la nervosité et de l'excitation. Je fais un pas à côté du paravent : elle distingue la silhouette de mon corps qui se détache sur les lumières de la ville.
Elle traverse la pièce, les yeux plantés dans les miens. La distance entre nous se réduit. Je n'arrive pas à discerner l'expression de son visage à cause de la faible lumière.

J'attends qu'elle parle, qu'elle me dise d'aller en enfer ou qu'elle me demande de la baiser. Elle ne dit rien. Elle s'arrête à quelques centimètres de moi, hésite un instant avant de m'attraper par la veste et de m'attirer à elle.

Ses lèvres sont chaudes et insistantes, elles ont le goût de champagne. Je l'imagine en train de vider un verre pour trouver le courage de monter ici et de faire exactement ça. Cette seule pensée me fait gémir, je cligne des yeux quand elle ouvre sa bouche sous la mienne, la tête renversée en arrière. Sa langue s'enroule dans la mienne. Je prends son sein droit au creux de ma main, en titillant son téton de l'autre main.

- Ambre : Enlève ça ! Dit-elle, ses mains bataillent avec ma cravate et les boutons de ma chemise.

Je recule en ouvrant la fermeture Éclair de sa robe. Je la contemple glisser le long de son corps et s'affaler à ses pieds. Elle est totalement nue sous sa robe.

- Moi : Tu étais comme ça depuis le début de la soirée ? Je lui demande, avant de prendre un sein dans ma bouche.

Elle confirme, les lèvres entrouvertes, les mains plongées dans mes cheveux. Elle murmure " encore ", " mords-moi ", " oh oui ". Je la guide jusqu'à la table en l'attrapant par les genoux pour l'asseoir sur le bord.

Mes doigts descendent le long de ses côtes, sur son ventre plat. Ses yeux rencontrent les miens. Je relève un sourcil en caressant le talon de ses chaussures.

- Moi : J'imagine que tu les gardes. Dis-je en contemplant son corps nu. Elle est parfaite peau crémeuse, seins spectaculaires aux pointes roses et dressées. Je me penche sur elle et donne des coups de langue de son cou jusqu'à ses seins en caressant le suçon que je lui ai laissé samedi dernier. Je suis sûr que tu l'as regardé tous les jours. Fais-je en admirant mon oeuvre.
J'appuie juste un peu plus.
- Ambre : Tu parles trop. Dit-elle en ouvrant ma chemise Tu es trop habillé. 

J'érafle son sein des dents, j'en suce la pointe, je mordille son téton dressé.

- Moi : Branle-moi. Dis-je en pressant sa main contre ma queue.

Elle serre et ma tête glisse sur son épaule.
Ses mains tremblent quand elle ouvre mon pantalon et le fait descendre rapidement le long de mes hanches. Elle se penche en arrière sur la table, le corps tendu, les ombres creusent la forme de ses épaules et la courbure de ses seins.

- Ambre : Justin... Murmure-t-elle. Ses pupilles sont totalement dilatées.
- Moi : Oui ?

Je suis distrait par son cou, ses seins, sa main sur ma bite.

- Ambre : Tu as un appareil photo ?

Pourquoi est-ce qu'elle fait ça ? Comment quelqu'un d'aussi rafiné arrive-t-il ainsi à tout envoyer en l'air ? Je fouille les poches de ma veste et en sors mon téléphone. Je le lui tends.

- Ambre : Ça fera l'affaire ?
- Moi : Tu veux bien faire des photos de nous ?

Je cligne des yeux. Deux fois, très fort. Est-ce qu'elle se fout de moi ?

- Ambre : Putain. Oui.
- Moi : Pas de visages.
- Ambre : Bien sûr que non.

Moment de silence. Nous considérons ce que je peux faire avec un tel gadget dans la main. Elle veut des photos de ce que nous sommes en train de faire. Je réalise que ça l'excite autant que moi. Je le sens à son rythme cardiaque qui s'accélère, à ses yeux fiévreux.

- Ambre : Tu ne les montres à personne !
- Moi : Je suis assez réticent à l'idée de te partager. Bien sûr que personne ne les verra. Dis-je en souriant.

Elle se laisse aller en arrière et je lève le téléphone en faisant le point sur elle. Son épaule. Clic clac. Son sein, son téton entre mes doigts. Clic clac. Elle gémit doucement quand ma main remonte le long de sa cuisse pour se glisser entre ses jambes.

Des voix dans le couloir nous rappellent à la réalité et à la nécessité de redescendre à un moment ou un autre parmi les invités. Je déroule un préservatif le long de ma queue et je me redresse pour enfoncer mon pouce dans sa bouche.

Son corps répond pour elle, elle entoure ses jambes autour de mes hanches pour nous rapprocher. Je me regarde glisser en elle juste au moment où la porte s'ouvre en grand.

Comme tout à l'heure, la lumière du hall envahit la pièce, traverse le paravent et peint son buste de rubans de lumière. Sa respiration se coupe, mais je n'arrête pas, je relève son menton et lui fais signe de rester tranquille pendant que je la pénètre. La chaleur à l'intérieur de ma verge remonte le long de ma colonne vertébrale quand je la sens autour de moi.

Elle ferme les yeux très fort et j'attrape sa hanche pour me stabiliser, je la prends
avec force, en la plaquant contre la table. La lumière de la ville est parfaite pour faire une photo sensuelle et sombre de ma main sur sa peau. Des bruits de pas traversent la pièce vers la fenêtre et ses jambes se resserrent autour de moi comme pour m'intimer l'ordre de continuer.

Je regarde les pointes de ses seins durcir, ses lèvres s'ouvrir sous l'excitation. Ne t'inquiète pas, je pense en souriant. Je ne compte pas m'arrêter de sitôt.
Je ne la pénètre pas à fond. J'attrape son sein gauche, j'en pince le téton.

- Moi : Ils sont là. Je murmure en me penchant pour l'embrasser dans le cou, appréciant le rythme de son pouls contre mes lèvres. Ils pourraient nous voir s'ils voulaient.  J'ajoute alors qu'elle arrête quasiment de respirer. Je pince encore, plus fort cette fois. Je n'arrête pas. J'ai envie de te prendre de plus en plus fort, et de plus en plus loin.
- Ambre : Plus fort. Me supplie-t-elle dans un murmure.
- Moi : Mes doigts ou ma queue ?
- Ambre : Les deux.
- Moi : Tu es une petite salope, tu as conscience de ça ? Je jure dans son cou.

Sa bouche s'ouvre dans un gémissement silencieux alors que je me balance contre elle, en souhaitant m'enfoncer plus loin encore. Je sens son ventre se contracter contre le mien, ses hanches se relever avec plus d'insistance. Putain, elle est brûlante et mouillée, si elle ne jouit pas bientôt, je ne pourrai plus me retenir. Heureusement pour moi, elle gémit et enfonce ses ongles dans mes épaules jusqu'à la douleur. Son corps se met à trembler et elle s'effondre sur moi. Je suis étourdi, euphorique, comme si quelque chose à l'intérieur de moi allait exploser.

Le bruit de pas revient et s'arrête juste de l'autre côté du paravent. Je sens
l'orgasme déferler, ardent au point de me faire voir des étoiles. Tout devient noir quand je la pénètre une dernière fois, la tête plongée dans son cou. Je me laisse aller, concentré sur cette sensation unique, et je jouis profondément en elle.

Soudain, le silence, le moment où nous luttons tous les deux pour contenir nos respirations haletantes. Nous n'osons pas bouger.

Je réalise soudain que j'entends un bruit de respiration de l'autre côté du paravent.
Quelqu'un est là, immobile. En train de nous écouter. Je tourne la tête, je vois les yeux grand ouverts de Ambre, ses dents enfoncées dans sa lèvre inférieure. Nous attendons. Au bout d'un moment, les bruits de pas s'éloignent, la lumière éclaire nos corps en sueur  quand la porte se referme.
 
 
 
 
 
  ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣ ♣
 

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#Posté le mardi 29 septembre 2015 13:39

Modifié le lundi 05 octobre 2015 10:50

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